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elles l’ont fait

Patricia*, 36 ans, a vécu un moment très difficile dans son activité professionnelle.
Elle veut faire un bilan de repositionnement professionnel, pour savoir si elle doit partir ou rester.
Elle est depuis 10 ans sur ce poste, elle se sent aussi éteinte et usée du système dans lequel elle est.

Avant la fin du bilan, elle me dit déjà qu’elle est hyper contente de ne pas avoir été sur un bilan de compétences traditionnel.
Parce qu’on a été chercher dans son parcours, dans son histoire, dans son héritage familial, et que chez elle, tout ce qui la bloquait avait ses racines là.

Un mois plus tard, j’ai un texto : « Bonjour Delphine ! Ce petit message pour vous dire que je débuterai l’année 2024 sur un nouveau poste au *** ! »
Elle a été prise sur un poste qui lui permet de rester sur son métier, très alignée avec elle-même, mais avec un environnement et des missions différentes !

Audrey* a encore une fois dû suivre son mari, arrêter un chouette boulot et redémarrer dans une nouvelle ville.
Elle fait des remplacements mais elle s’ennuie. Elle propose des choses, mais ça fait plof. Elle ne trouve pas sa place.
Pourtant elle en a sous la pédale, et une furieuse envie de travailler et de s’éclater.

Elle choisit de faire un bilan de repositionnement professionnel pour faire le point, voir ce qu’elle pourrait faire, explorer tous ses possibles.
Juste avant la fin de son bilan, elle est sollicitée pour prendre un poste à responsabilité dans son secteur professionnel.
Ça correspond à beaucoup de choses mises en lumière pendant le bilan.

Elle a peur mais elle y va.
Son texto m’arrive 6 mois après la fin de son bilan :
« Je me sens épanouie, légitime, à ma place pro… enfin ! Alors juste merci merci merci merci merci »

Lucie* est en arrêt dans un CDI dans lequel elle ne veut pas reprendre. Trop de violence, trop de manque de respect.
L’arrivée de ses deux enfants lui a également fait prendre conscience de beaucoup de choses.
Elle me sollicite pour un bilan de repositionnement professionnel, parce qu’elle sait ce qu’elle ne veut plus, mais elle ne sait pas ce qu’elle peut.

Le bilan lui permet de mettre au clair son fonctionnement, ses talents, ce pour quoi elle est naturellement, facilement douée.
Au fur et à mesure, elle reconnecte ses joies, ses kifs, ses réussites, ce pourquoi on l’a toujours félicitée. Ça bouge en elle, ça chemine, ça s’impose.
A la fin du bilan, elle sait ce qu’elle veut faire, et c’est une activité en indépendante.

Mais ça ne va pas être pour tout de suite, parce qu’elle a besoin de temps pour se former.
Alors elle saisit l’opportunité d’un mi-temps que j’ai relayé sur la communauté We Girls, et complète avec une autre opportunité de compléments de revenus.
Elle construit son nouveau chemin.

Stéphanie* me contacte sans trop savoir ce dont elle a besoin.
En revanche elle sait ce qui lui pose problème : elle est indépendante et ne gagne pas sa vie.
Quand je lui demande ses tarifs, je suis choquée car ils sont vraiment très bas et le lui partage.

Elle me dit qu’elle n’a pas besoin de beaucoup d’argent pour vivre,
mais au moment où elle me parle des choses qu’elle ne peut pas payer à ses enfants, elle s’effondre en larmes.
Nous avons trouvé le programme dont elle a besoin : parce qu’il est empêtré, il lui faut libérer son rapport à l’argent.

Au fur et à mesure du programme, Stéphanie comprend d’où lui viennent ses blocages : l’histoire de sa grand-mère résonne étonnamment avec la sienne,
et l’éducation qu’elle a reçue l’a tenue à l’écart de l’argent.

Maintenant qu’elle a mis cela en lumière, elle peut enfin faire autrement.
Elle peut alors envisager de se faire payer à la hauteur de ce qu’elle vaut vraiment.
4 mois plus tard, elle n’a plus de difficulté à parler de ses nouveaux tarifs, et multiplie même les occasions de parler de son activité.
Résultats : elle a désormais 3 fois plus de clients ! Et 5 fois plus de chiffres d’affaires !!!